Le luxmètre relève la quantité de lumière arrivant sur une surface. Cette donnée est utile par exemple en muséographie où les œuvres exposées sont soumises à des éclairements réglementés :
Exemple : gravures du XVIIe siècle : éclairement de 50 Lux pendant deux mois ou de 100 Lux pendant 1 mois.
Au-delà de ces temps d’exposition, la lumière endommage fortement les oeuvres et peut à terme les détruire complètement. D’autres milieux ont souvent besoin de relevés d’éclairement, comme le milieu urbain ou architectural, où des normes strictes sont appliquées.
Il existe deux types de luxmètres, à cellule intégrée ou à cellule séparée. Pour faire une bonne mesure, il est nécessaire d’appliquer la cellule bien à plat sur la surface à mesurer et de ne pas créer d’ombre entre la source et la surface. À noter que le spectacle vivant a moins besoin de relevés en Lux, l’oeil humain étant le référent principal de la mise en lumière.